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« On ne dira jamais assez l’importance des accessoires. Ce sont eux qui transforment une robe. J’aime qu’une robe soit sobre et un accessoire fou. » Yves Saint Laurent - 1977
Votre Lucio aime chiner. Depuis des années il cherche et trouve ce qu'il préfère au monde : des accessoires Yves Saint Laurent et Saint Laurent Rive Gauche ou dans l'esprit Saint Laurent.
Lucio est un personnage né de l’imaginaire de Alberto Brusamolino. Galeriste, fondateur de Less is More Projects, passionné et collectionneur d’accessoires Yves Saint Laurent, Alberto est le curateur jusqu'en 2020 des expositions Studiolo, sorte de cabinets de curiosités contemporains, à la galerie 3m2 au Jardin du Palais Royal à Paris ou sont présentés, entre autres, une selections d'accessoires uniques et des accessoires Yves Saint Laurent des années 1965 à 1980.
Actuellement, chez Less is More Projects&Lucio, un showroom boutique expérimental au coeur du 11e arrondissement de Paris, Alberto Brusamolino propose côte à côte accessoires et oeuvres d'art, fusion de la mode et d’autres formes de créativité. Tout reflète les gouts personnels du fondateur et de ses très proches collaborateurs dans cet espace ouvert en juillet 2021 avec une architecture aux formes très marquées.
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Témoignages. Les collectionneurs : "Avec les bijoux, il m'arrive de faire des folies"
Ils vouent une passion jamais rassasiée aux vêtements et aux accessoires de mode. Dans le cinquième épisode de notre série, Alberto, amateur de bijoux évoluant entre Paris et Florence.
Par Marie Ottavi, Libération, Lifestyle / Mode, 1er novembre 2024
Alberto, 59 ans, a ouvert une galerie (Less is More Projects, dans le XIe arrondissement de Paris), où il présente côte à côte des accessoires de mode et des œuvres d’art. Une façon de relier son goût pour la mode, né dans l’enfance auprès de l’une de ses tantes, et le travail.
«Je suis un passionné d’accessoires Yves Saint Laurent. J’ai hérité de ce goût pour la mode de Lusi, l’une de mes tantes, qui avait une boutique de lingerie à Florence, qu’elle avait ouverte après la guerre. J’ai passé toute mon enfance à ses côtés, elle m’a donné les clés de la bellezza, la beauté en italien. Elle était une sorte de marquise Casati, un personnage à l’allure extravagante qui vivait de façon bizarre. Auprès d’elle, j’ai découvert les premiers ateliers de Pucci et Gucci, quand tout était encore fait de façon artisanale. J’ai donc baigné dans ce milieu très jeune.
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"Galeriste et collectionneur passioné d'accessoires Yves Saint Laurent, Alberto Brusamolino est le fondateur de Less is More Projects. Il est aussi curateur des expositions Studiolo au Palais Royal, sorte de cabinets de curiosités contemporains, devenus un rendez-vous incountournable pour les esthètes amateurs de mode, d'art contemporain et beaux objets (...)"
LES GERMANOPRATINES Rive Gauche ・Paris
"3m2 pour ouvrir les frontières entre vintage et modernité (...)"
LEATHER FASHION DESIGN
Témoignages. Les collectionneurs : "Avec les bijoux, il m'arrive de faire des folies"
Ils vouent une passion jamais rassasiée aux vêtements et aux accessoires de mode. Dans le cinquième épisode de notre série, Alberto, amateur de bijoux évoluant entre Paris et Florence.
Par Marie Ottavi, Libération, Lifestyle / Mode, 1er novembre 2024
Alberto, 59 ans, a ouvert une galerie (Less is More Projects, dans le XIe arrondissement de Paris), où il présente côte à côte des accessoires de mode et des œuvres d’art. Une façon de relier son goût pour la mode, né dans l’enfance auprès de l’une de ses tantes, et le travail.
«Je suis un passionné d’accessoires Yves Saint Laurent. J’ai hérité de ce goût pour la mode de Lusi, l’une de mes tantes, qui avait une boutique de lingerie à Florence, qu’elle avait ouverte après la guerre. J’ai passé toute mon enfance à ses côtés, elle m’a donné les clés de la bellezza, la beauté en italien. Elle était une sorte de marquise Casati, un personnage à l’allure extravagante qui vivait de façon bizarre. Auprès d’elle, j’ai découvert les premiers ateliers de Pucci et Gucci, quand tout était encore fait de façon artisanale. J’ai donc baigné dans ce milieu très jeune.
«La première pièce que j’ai achetée n’était pas un accessoire, mais une veste courte de la collection “les Rabbins chics” (automne-hiver 1993-1994) de Jean-Paul Gaultier. Je voyageais souvent car je travaillais dans une boutique de mode à Florence pour qui je cherchais les vêtements de créateurs d’avant-garde, comme Vivienne Westwood. Dans ces années-là, j’ai acheté la première vraie pièce de ma collection Yves Saint Laurent : une manchette dorée en écaille de crocodile, très connue, faite pour les 20 ans de la ligne Rive gauche. [...]
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